Презентація на тему «La presse francaise»
La presse francaise
Presses Francaise
Le Monde
Le Parisien
La Tribune
Les Echos
Le Figaro
France Soir
Le Monde
Le Monde est un journal quotidien français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944.
C'est un journal « du soir » qui paraît l'après-midi, daté du lendemain, le seul en France à conserver cette formule en 2012. Quotidien français de référence pendant plusieurs décennies, il est toujours le plus diffusé à l'étranger, avec une diffusion journalière hors France de 40 000 exemplaires.
Le Monde
Le Monde est un journal quotidien français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944.
C'est un journal « du soir » qui paraît l'après-midi, daté du lendemain, le seul en France à conserver cette formule en 2012. Quotidien français de référence pendant plusieurs décennies, il est toujours le plus diffusé à l'étranger, avec une diffusion journalière hors France de 40 000 exemplaires.
Le Parisien
Le Parisien (ou Aujourd'hui en France pour l'édition nationale), intitulé Le Parisien libéré jusqu'en 1986, est un journal quotidien régional français détenu par le groupe Amaury. Le siège et l'imprimerie sont situés à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).
Le Parisien constitue, avec son édition nationale Aujourd'hui en France, le premier quotidien national d'information générale en France avec une diffusion couplée d'environ 500 000 exemplaires. Grâce à ses dix éditions départementales, il est également le premier quotidien à Paris et en Île-de-France.
Le Parisien
Le Parisien (ou Aujourd'hui en France pour l'édition nationale), intitulé Le Parisien libéré jusqu'en 1986, est un journal quotidien régional français détenu par le groupe Amaury. Le siège et l'imprimerie sont situés à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).
Le Parisien constitue, avec son édition nationale Aujourd'hui en France, le premier quotidien national d'information générale en France avec une diffusion couplée d'environ 500 000 exemplaires. Grâce à ses dix éditions départementales, il est également le premier quotidien à Paris et en Île-de-France.
La Tribune
La Tribune est un quotidien économique et financier français, ancienne filiale de LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton jusqu'en novembre 2007 puis filiale de News Participations, une holding d'Alain Weill. Depuis mai 2010, Valérie Decamp, directrice générale, est propriétaire de 80 % des actions du journal. En France, son principal concurrent est le quotidien Les Échos.
La Tribune
La Tribune est un quotidien économique et financier français, ancienne filiale de LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton jusqu'en novembre 2007 puis filiale de News Participations, une holding d'Alain Weill. Depuis mai 2010, Valérie Decamp, directrice générale, est propriétaire de 80 % des actions du journal. En France, son principal concurrent est le quotidien Les Échos.
Les Echos
Fondé en 1908, Les Échos est un quotidien français d'information économique et financière, propriété du Groupe Les Échos, pôle médias du groupe LVMH. D'orientation libérale1 et imprimé en France, son principal concurrent est le journal La Tribune.
Les Echos
Fondé en 1908, Les Échos est un quotidien français d'information économique et financière, propriété du Groupe Les Échos, pôle médias du groupe LVMH. D'orientation libérale1 et imprimé en France, son principal concurrent est le journal La Tribune.
Le Figaro
Le Figaro est un journal français fondé en 1826 sous le règne de Charles X. Il est à ce titre le plus ancien quotidien français encore publié. Il a été nommé d'après Figaro, le personnage de Beaumarchais, dont il met en exergue la réplique :
Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. »
Il est édité par la Société du Figaro, une filiale de la Socpresse, dont le président est l'industriel et sénateur de l'Essonne, Serge Dassault.
Sa ligne éditoriale est de droite ou de centre-droit, selon le spectre politique français habituellement utilisé.
Le Figaro
Le Figaro est un journal français fondé en 1826 sous le règne de Charles X. Il est à ce titre le plus ancien quotidien français encore publié. Il a été nommé d'après Figaro, le personnage de Beaumarchais, dont il met en exergue la réplique :
Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. »
Il est édité par la Société du Figaro, une filiale de la Socpresse, dont le président est l'industriel et sénateur de l'Essonne, Serge Dassault.
Sa ligne éditoriale est de droite ou de centre-droit, selon le spectre politique français habituellement utilisé.
France Soir
Les fondateurs Robert Salmon et Philippe Viannay[modifier]
À sa création en novembre 19441 par les jeunes chefs résistants Robert Salmon et Philippe Viannay, France-Soir est assimilé, par son lectorat comme par son titre, au journal clandestin Défense de la France créé en 1941 par les mêmes Robert Salmon et Philippe Viannay2, dont les premiers numéros étaient imprimés sur une machine offset Rotaprint3, cachée dans les caves de la Sorbonne, avec en exergue cette phrase du philosophe Blaise Pascal : « Je ne crois que les histoires dont les témoins se feraient égorger ».
Relayé à Grenoble, Clermont-Ferrand, Lyon et en Bretagne par les réseaux résistants Combat et Témoignage chrétien, Défense de la France devient le plus fort tirage de la presse clandestine, avec 450 000 exemplaires par jour dès janvier 19443. En mars 1944, après de multiples déménagements, il est hébergé dans un bâtiment industriel sur trois niveaux, rue Jean-Dolent, derrière la prison de la Santé, dans le XIVe arrondissement, avec une machine « double jésus » de six tonnes, la « Grosse Margot », une linotype, un massicot, et une réserve de papier, d'essence, de vivres, d'eau et de deux tonnes de charbon de bois pour la clicherie.
Le premier numéro de France-Soir paraît le 7 novembre 1944 sous un double titre, France-Soir - Défense de la France. Philippe Viannay, ancien chef des maquis FFI de Seine-et-Oise4, fonde aussi en 1945 avec Jacques Richet le Centre de formation internationale avant de le transformer l'année suivante en Centre de formation des journalistes (CFJ). Mais en 1947 après trois années de parution, il perd le contrôle de France-Soir5. Jusqu'en 1948, un drastique rationnement du papier oblige les très nombreux quotidiens, pour la plupart issus de la Résistance, à se limiter à une page recto-verso, limitant les possibilités d'expansion et d'innovation. Robert Salmon, sensibilisé au problème avait présidé le Comité des papiers de presse, pour trouver des solutions à la pénurie de matière première. En 1945, le syndicat national des journalistes demande la mise sous séquestre de ce comité, qu'il appelle « trust du papier.